On parle d’hypoplasie du cervelet lorsque celui-ci est d’une taille inférieure à la normale.
C’est une affection retrouvée notamment chez le Setter Irlandais, le Fox Terrier à poils durs, le Chow-chow, l’Airedale Terrier…
Les symptômes sont observés chez l’animal âgé de quelques semaines, lorsque celui-ci commence à se déplacer.
On observe des troubles de l’équilibre avec des chutes, des tremblements intentionnels (c'est-à-dire qui vont se déclencher lorsque l’animal fixera son attention sur quelque chose comme manger ou boire) et un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire).
Il n’existe pas de traitement pour cette affection.
Puisqu’il n’y a pas d’aggravation des symptômes avec le temps le pronostic pour cette affection peut être bon si l’animal arrive à compenser les troubles engendrés par la malformation.
C’est une affection retrouvée notamment chez le Setter Irlandais, le Fox Terrier à poils durs, le Chow-chow, l’Airedale Terrier…
Les symptômes sont observés chez l’animal âgé de quelques semaines, lorsque celui-ci commence à se déplacer.
On observe des troubles de l’équilibre avec des chutes, des tremblements intentionnels (c'est-à-dire qui vont se déclencher lorsque l’animal fixera son attention sur quelque chose comme manger ou boire) et un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire).
Il n’existe pas de traitement pour cette affection.
Puisqu’il n’y a pas d’aggravation des symptômes avec le temps le pronostic pour cette affection peut être bon si l’animal arrive à compenser les troubles engendrés par la malformation.
On parle de lissencéphalie lorsque les sillons normalement présents à la surface du cerveau sont absents.
Quand on parle de pachygyrie, c’est que ces sillons sont présent mais beaucoup moins nombreux que sur un cerveau normal.
Enfin, lorsque l’on parle de polymicrogyrie, c’est que ces sillons sont présents en quantité excessive et qu’ils sont de petite taille.
Les deux premières anomalies sont essentiellement rencontrées chez le Lhassa Apso. La polymicrogyrie est quant à elle essentiellement rencontrée chez le Caniche.
Ces trois maladies entraînent l’apparition de symptômes dans les premiers mois de la vie de l’animal, tel que des crises d’épilepsie, des troubles du comportement, des troubles de l’équilibre ainsi que des déficits visuels.
Ce sont des maladies non évolutives pour lesquelles le pronostic peut être bon si les symptômes sont traités médicalement.
Quand on parle de pachygyrie, c’est que ces sillons sont présent mais beaucoup moins nombreux que sur un cerveau normal.
Enfin, lorsque l’on parle de polymicrogyrie, c’est que ces sillons sont présents en quantité excessive et qu’ils sont de petite taille.
Les deux premières anomalies sont essentiellement rencontrées chez le Lhassa Apso. La polymicrogyrie est quant à elle essentiellement rencontrée chez le Caniche.
Ces trois maladies entraînent l’apparition de symptômes dans les premiers mois de la vie de l’animal, tel que des crises d’épilepsie, des troubles du comportement, des troubles de l’équilibre ainsi que des déficits visuels.
Ce sont des maladies non évolutives pour lesquelles le pronostic peut être bon si les symptômes sont traités médicalement.
L’hypertonicité musculaire épisodique, aussi appelée la « crampe du Scottish », est une maladie essentiellement retrouvée chez le Scottish Terrier.
C’est une maladie qui évolue par crise. Celles-ci peuvent être provoquées par le stress, l’excitation ou l’exercice.
Ces crises ne sont pas douloureuses pour l’animal. Elles durent en général une dizaine de minutes, se manifestent par des troubles de la locomotion : l’animal présente une démarche anormale, raide, il lève haut les pattes.
Dans les cas les plus graves il est incapable de se déplacer et chute.
Entre les crises les animaux ont une démarche tout à fait normale.
C’est une maladie de bon pronostic puisqu’elle n’affecte pas ou peu la qualité de vie de l’animal, et qui semble peu évolutive.
Un traitement médical peut être mis en place si les crises sont trop fréquentes et semble gêner la vie du chien.
C’est une maladie qui évolue par crise. Celles-ci peuvent être provoquées par le stress, l’excitation ou l’exercice.
Ces crises ne sont pas douloureuses pour l’animal. Elles durent en général une dizaine de minutes, se manifestent par des troubles de la locomotion : l’animal présente une démarche anormale, raide, il lève haut les pattes.
Dans les cas les plus graves il est incapable de se déplacer et chute.
Entre les crises les animaux ont une démarche tout à fait normale.
C’est une maladie de bon pronostic puisqu’elle n’affecte pas ou peu la qualité de vie de l’animal, et qui semble peu évolutive.
Un traitement médical peut être mis en place si les crises sont trop fréquentes et semble gêner la vie du chien.
La myélopathie dégénérative est une maladie dégénérative des cellules nerveuses de la moelle épinière, principalement thoracique.
On retrouve cette maladie essentiellement chez le Berger Allemand, le Rhodesian Ridgeback, le Boxer, le Chesapeake Bay Retriever et le Pembroke Welsh Corgi.
Les symptômes apparaissent vers l'âge de 9 ans. Dans un premier temps, l'animal atteint présente des troubles de l'équilibre et une faiblesse des membres postérieurs.
Les symptômes s'aggravent progressivement conduisant à une paralysie des membres postérieurs, puis les membres antérieurs sont aussi touchés et on finit par observer une paralysie des quatre membres. A ce stade l'animal à du mal à manger, n'arrive parfois plus à aboyer et présente une incontinence urinaire et fécale.
Le pronostic de cette maladie est mauvais du fait de l'aggravation des symptômes et de l'absence de traitement.
Il existe un test génétique pour cette maladie.
On retrouve cette maladie essentiellement chez le Berger Allemand, le Rhodesian Ridgeback, le Boxer, le Chesapeake Bay Retriever et le Pembroke Welsh Corgi.
Les symptômes apparaissent vers l'âge de 9 ans. Dans un premier temps, l'animal atteint présente des troubles de l'équilibre et une faiblesse des membres postérieurs.
Les symptômes s'aggravent progressivement conduisant à une paralysie des membres postérieurs, puis les membres antérieurs sont aussi touchés et on finit par observer une paralysie des quatre membres. A ce stade l'animal à du mal à manger, n'arrive parfois plus à aboyer et présente une incontinence urinaire et fécale.
Le pronostic de cette maladie est mauvais du fait de l'aggravation des symptômes et de l'absence de traitement.
Il existe un test génétique pour cette maladie.